Informatique et libertés
Catherine ZOCCARATO, Responsable des affaires générales à l’École Centrale de Lyon à compter du 27 octobre 2016, est la correspondante informatique et libertés de l’École. Vous pouvez la contacter pour toute demande relative à la protection des données personnelles.
Éditeur du site
Ce site est édité par l’École Centrale de Lyon, 36 avenue Guy de Collongue 69134 Écully Cedex FRANCE, tél : +33 (0)4 72 18 60 00. L’École Centrale de Lyon est un établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel.
Droits de recopie
Code de la propriété intellectuelle, articles L122-4 et L122-5 : La loi n’autorise, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et d’autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d’exemple et d’illustration, par conséquent toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite.
Code de la propriété intellectuelle, lois du 11 mars 1957, 3 juillet 1985, 1er juillet 1992, 3 janvier 1995 : L’auteur est libre de diffuser ses propres oeuvres sur Internet, sous réserve de ne pas avoir accordé au préalable une exclusivité de diffusion à un tiers, éditeur ou distributeur.
En vertu de la loi sur la propriété intellectuelle, diffuser les oeuvres de tiers constitue un acte d’exploitation qui n’est possible qu’avec l’autorisation de l’auteur. Dans le cas de diffusion d’une oeuvre sans autorisation de l’auteur, celui-ci est susceptible de demander des dommages et intérêts au titre du préjudice subi.
Ces dispositions s’appliquent bien entendu à notre site, et entre autres :
aux logiciels
La distribution, le téléchargement ou l’utilisation de copies non autorisées, ou l’utilisation dans des conditions non autorisées par l’auteur sont des délits.
En particulier, et bien que techniquement faciles à réaliser, la réutilisation d’une applet Java ou d’une JavaScript sans autorisation explicite de l’auteur sont interdites.
aux images (fixes ou animées)
La copie d’une image aux fins de republication sur un autre serveur est interdite sans autorisation de l’auteur.
Une certaine convention semble se dégager pour ne pas réprimer la réutilisation à l’unité, d’images de petite taille (icônes), à laquelle nous adhérons volontiers.
Toutefois, cette tolérance mise à part, il est formellement interdit de réutiliser des logos, des photographies, des images provenant d’animations ou des dessins, sans une autorisation explicite de l’auteur.
aux textes
Tout texte extrait de notre site ne peut être utilisé qu’accompagné de la mention expresse de son origine, et uniquement dans un but d’illustration ou de courte citation.
Mise en garde de l’utilisateur
Tout sera fait pour que les informations mises à disposition sur notre site soient pertinentes, correctes et à jour. Cependant, ces informations n’ont qu’une valeur indicative et ne peuvent donc engager la responsabilité de l’École Centrale de Lyon.
Notre serveur dispose de nombreux hyperliens vers d’autres sites. L’utilisateur peut donc être amené au cours de sa navigation sur des sites extérieurs qui ne dépendent donc aucunement de l’École Centrale de Lyon.
Avertissement
Les serveurs Internet sont une cible privilégiée pour les tentatives d’intrusion ou de piratage. La loi Godfrain est extrêmement explicite à ce sujet :
délit d’intrusion
L’accès et le maintien frauduleux total ou partiel dans tout ou partie d’un système est puni par l’article 323-1 de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. Lorsqu’il en est résulté soit la suppression ou la modification de données contenues dans le système, soit une altération du fonctionnement de ce système, la peine est de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. Cette formulation très large englobe toutes les techniques d’accès frauduleux à un système protégé, mais aussi l’utilisation du mot de passe exact par celui qui n’y a pas normalement accès.
délit d’entrave
L’atteinte volontaire au fonctionnement d’un système de traitement informatisé de données est puni par l’article 323-2 de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. Ce texte vise tous les procédés utilisés pour entraver volontairement un système en agissant sur les éléments matériels, les logiciels, les organes de sortie, les imprimantes et les programmes permettant d’autres opérations, destructions ou introduction de virus informatiques.
délit de piratage
L’atteinte volontaire aux données est l’introduction frauduleuse de données dans un système, la suppression ou l’altération frauduleuse des données qu’il contient. Ce délit est puni par l’article 323-3 de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende.
Dans le cas où une telle tentative se ferait en direction de notre site, et quel que soit l’endroit d’où elle pourrait provenir, nous mettrions tout en oeuvre pour que cette loi soit appliquée.